harlem les fleurs de l'eternité Lyrics

Dors, et surtout la haut réveille-toi,
Vole, dis-toi que d' ici nous on te voit,
Cette image que tu as laissée,
N' est pas celle d'un Homme qui guérit pas,
L' histoire ne fait que commencer,
Pour toi on continu le combat,
Mais non, mais non, mais non, mais non,
Mais non, on s' enfermera pas dans le noir,
Fort, tu l' as été donc on te le doit,
Quand a ceux qui n' on pas cessé,
De te nuire et salir les espoirs,
Jamais les bras tu n' a baissé,
On t' entend nous murmurer tout bas,
Ca va, j'vous jure je me sens bien,

Sous l' amour que tu as semé,
Poussent les fleurs de l' éternité,
Les Hommes s' en vont et viennent,
Sans vraie raison mais toi,
Tu n' es pas venus pour rien,
Passant ton temps a chérir les autres,
Aujourd' hui tu es, toujours parmis nous,

Chose promise, chose dure,
Je te l' avais dit un jour,
Je t' écrirais un truc,
Mais tu nous as pris de court,
On est tous sur le cul depuis le 30,
Avec un peu de r_____,
Maintenant je le chante,
Je t' aime poto,
Je te l' ai deja dit par texto,
Star cademy, car tu as gardé le cœur chaud,
Claro, Karine t' envoie des te quiero,
Ton public me somme de te dire encore bravo,
Distributeur de bonheur,
Je ne retiens de toi,
Que le sacré déconneur, gros,
Les meilleurs partent trop tôt,
De ton rire se propage un éternel écho,
C' est la sécheresse,
Dans les yeux de ceux qui t' aiment,
J' ai pleuré toutes les larmes de mon corps pour que tu reviennes,
Mais t' es partis, sans pleurs et sans bruit,
Sous un par-terre de fleur blanche à Chambéry,

Sous l' amour que tu as semé,
Poussent les fleurs de l' éternité,
Les Hommes s' en vont et viennent,
Sans vraie raison mais toi,
Tu n' est pas venus pour rien,
Passant ton temps a chérir les autres,
Aujourd' hui on t' aime, toujours par milliers,

Faites le maximum pour sensibiliser,
Et convaincre l' intention des gens bien portants,
Sur la nécessité du don de soit,
Sur le nombre incroyables de vie qu' on pourrait sauver,
Si la conscience de chacun le permettaient,
Je vais peut être joindre une scéne,
Où je chanterais au milieu des anges,
Dans ce cas laissez moi, n' ayez plus de peine,
C' est drôle je n' ai plus peur,
C' est étrange,
Ah si! pardon, j' oubliais,
Dites aussi à certains qui se sont trouvé drôle,
Un jour, que mon nom, n' estait pas Mucovicidose,
Mais bien Grégory Lemarchal, je vous aime,
Les fleurs de l' éternité.